Vous voulez vivre de nouvelles aventures autre qu’avec un chat ou un classique chien ? De plus en plus de français se dirigent vers les reptiles domestiques, ces petits (ou grands) animaux qui rampent, marchent, et fascinent les invités.
Pour commencer, il faut bien choisir et se documenter sur le type de reptile que vous souhaitez adopter : serpent, lézard ou tortue. Plusieurs espèces différentes les unes des autres peuvent être adoptées, mais pas adaptées à tous les niveaux.
En effet, les serpents attirent de plus en plus de personnes, mais ne sont pas toujours domestiques. Pratiquement sourds et aveugles, ils disposent également d’une faible mémoire qui fonctionne uniquement par reconnaissance olfactive. Ces animaux ne sont donc pas aussi affectueux qu’un chat et ne se « dressent » pas, on parle alors de terrariophilie.
L’entretien d’un serpent est faible, de même qu’ils ne mangent pas très souvent : une fois par semaine dans la plupart des cas. On peut conseiller certains serpents comme les élaphes (serpent des blés) pour débuter dans la terrariophilie.
Autres reptiles domestiques, les lézards. On trouve 4 sous-familles de lézards : les geckoidés, les iguanidés, les agamidés et les varanidés. Les geckos et les iguanes sont les plus répandus dans les foyers possédant un terrarium, de par leur taille réduite et leur facilité d’alimentation essentiellement composée d’insectes ; contrairement aux varans qui sont plus conséquents et carnivores.
Cependant, il faut garder à l’esprit que l’iguane grandit significativement au fil du temps et nécessite donc une connaissance et une maîtrise approfondie des reptiles de ce genre.
Enfin, les tortues peuvent être un choix de reptile. Aquatiques ou terrestres, les tortues s’avèrent être un animal de compagnie agréable. Elles se nourrissent de poissons ou sont herbivores, et vivent entre 20 et 150 ans ! Elles nécessitent un terrarium ou aqua-terrarium aménagé, et ont également une période d’hibernation.
Mais depuis quelques temps, les tortues sont de plus en plus inaccessibles en raison des trop nombreux prélèvements dans leur milieu naturel et des particuliers qui les relâchent dans leur étangs ou forêts, ce qui perturbe les écosystèmes locaux.